jeudi 6 septembre 2007

Notre 2ème voyage au Maroc Mai 2007 Le Grand Sud

Comme sur le blog précédent, lorsque vous arriverez à chaque fin de page, cliquez sur "message plus ancien" pour la suite du voyage. J'espère que vous trouverez autant de plaisir que la première fois à nous suivre dans nos périgrinations. Vous allez voir, il s'agit d'un trajet très différent, plus désertique dans l'ensemble et proche de la mer. Je vous souhaite bon vent......Après 5 heures d'attente dans l'aéroport de Casablanca dont 3 de retard (il n'y avait pas de pilote dans l'avion!!!!) Nous attérrissons enfin à Agadir. Nous pensons que le chauffeur de taxi désigné pour venir nous chercher se serait lassé, et bien non, il est là avec sa pancarte souriant et patient. Il est tout de même 10 heures du soir, il fait bien nuit et nous avons plus d'une heure de route avant d'arriver à l'hôtel par la route et la piste.
En fait, nous arrivons à 23h30 au ksar à sous Massa nous attendant à ce que l'on nous propose un sandwich pour tout repas vu l'heure tardive. Encore une fois, et bien non, on nous attendait. Les petits plats ont été mis dans les grands pour nous régaler d'un excellent repas dans une charmante salle de restaurant vide de clients.
Les jardins du ksar étant très peu éclairés, nous n'avons aucune idée des lieux. Pas grave, on est creuvé, vite au lit, nous verrons bien demain...
Quelle merveille en nous levant de découvrir la beauté des lieux et la mer à nos pieds. Décidemment, le rêve de l'année dernière continue....J'en connais qui vont dire "encore un voyage de luxe"; ce n'est pas comme cela qu'on découvre le Maroc!!!!....Il faut prendre le sac à dos et marcher...Ben oui, c'est ce que nous devrions faire mais nous l'avons tant fait que nos pieds à présent ont du mal à suivre. Allons, soyez bons avec nous et suivez nous quand même.

Quand je pense le mal que j'ai à faire pousser des plantes grasses sur ma mini terrasse. Cliquez,vos allez voir, comme elles sont belles. Pourtant, il y a eu un vent de sable violent la veille, malgré tout, elles ont résisté

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